Certains jeunes ont recours à le appui de façon ponctuelle, quand un nœud se représentée. D’autres y reviennent assidument. Comme un règle. Une goût de relire le à utiliser. Pas d’en susciter dépendre leurs résolutions, mais d’enrichir leur sentiment. Sarah, 24 ans, consultante junior dans une start-up, explique qu’elle envoie un mail tous les deux mois environ. Toujours pour un problème différente. quelques fois compétente, parfois sentimentale, parfois simplement existentielle. Elle amené que ce sont ses courriers employés. Qu’elle n’attend pas des matérialisations, mais qu’elle sent que ça l’aide à tenir un cours rougeaud. Elle n’est pas la seule. Beaucoup de jeunes conservent les explications reçues. Les relisent à distance. Et découvrent parfois, bien après, une pertinence qu’ils n’avaient pas perçue immédiatement. La voyance par mail est dès lors aussi une action de maturation. Une graine croyant déposée, qui germe à la longue.

Contrairement aux idées reçues, miette de jeunes interrogés se disent indubitablement « croyants » au sens ancien de l'expression. ce n’est pas la foi qui motive le recours à la voyance par mail. C’est le besoin d’un autre regard. D’une autre esprit. D’un autre langage. ludmilla, 20 ans, étudiante en école de design, explique qu’elle utilise la voyance en tant qu' un instrument de force créatrice. Elle fait parvenir parfois des questions ouvertes, sur ses envies, ses envies, ses limites. Ce qu’elle reçoit en retour lui consiste de matière à circonspection. Elle ne prend pas tout au pied de la lettre, mais elle y puise des symboles, des angles morts qu’elle n’aurait pas attendus autrement. C’est cette approche non dogmatique qui séduit. La voyance par mail se fait une ressource parmi d’autres. Ni meilleure, ni pire. Elle s’ajoute à une liste déjà riche d’outils numériques, de coachings, de thérapies en ligne, de journaux secretes digitaux. ce n’est pas une pratique marginale. C’est un continuité plus sain voyance olivier d’une génération en quête de cohérence propre.